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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 03:25

Il vole par vent fort ,ne craind pas les turbulences.

Outil idéal pour le vol en immersion (ce qui consiste à emporter une camèra à bordet de visaliser le vol via un écran de controle ,un drone en quelque sorte,pratique interdite en France.Il faut  impérativement être 2 , un pilote et un opérateur vidéo.)

Avec l'arrivée de ce nouveau jouet nous assistons à la naissance d'une nouvelle génération de modès réduits.

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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 03:19
Les facettes font partie d'un protocole extrêmement conservateur ,nous ne mutilons pas ou très peu le capital existant.
Nous avons des cas posés depuis plus de 20ans.
Vous verrez sur la vidéo la patiente pleure ........de bonheur, un vrai plaisir constamment partagé.

 

 

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6 août 2010 5 06 /08 /août /2010 01:13
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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 00:43
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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 00:14

 

 

 

Canada
Déjà dix ans pour Dentistes Sans Frontières


22.08.2009 - Des ressources humaines etmatérielles extrêmement limitées pour des besoins criants. Voilà le constat que faisait le Dr Paul Germain, cofondateur de Dentistes Sans Frontières (DSF), au retour d’une mission exploratoire réalisée à Choluteca, au Honduras, en 1999.
À l’époque, un examen sommaire effectué sur 116 personnes lui avait permis d’observer 266 caries, 1978 dents manquantes, et seulement 19 obturations, dont cinq chez la même personne. À n’en pas douter, le lancement de Dentistes Sans Frontières allait permettre d’offrir des soins dentaires à des populations qui en avaient grandement besoin sans pour autant y avoir accès.

Dix ans plus tard, les chiffres cumulés traduisent bien la portée et l’étendue des interventions : une quarantaine de missions ont été réalisées dans une dizaine de pays, impliquant la participation de près de 250 volontaires, qui ont examiné et/ou traité environ 13 500 patients.

« En démarrant Dentistes Sans Frontières, nous voulions regrouper tous les efforts personnels autour d’un organisme structuré », mentionne Dr Paul Germain. « Plusieurs dentistes avaient déjà vécu des expériences de bénévolat en pays étrangers, mais sur une base individuelle. Ce projet répondait à l’ouverture d’esprit de toute la profession dentaire envers la communauté internationale », souligne-t-il aussi.

L’idée était donc de multiplier les occasions pour des dentistes, des assistantes, des hygiénistes et des techniciens de faire don de leur temps et de leurs compétences pour soulager la souffrance, en travaillant avec les moyens du bord, là où leurs services étaient requis.

Il est aussi vrai que la possibilité de travailler dans des conditions parfois extrêmes, avec des moyens limités, a toujours opéré son charme sur les dentistes. Des équipements rafistolés, trafiqués, raboutés, des tours qui ne tournent pas, des succions qui ne sucent pas, des génératrices qui ne génèrent pas d’électricité, des chaises pliantes installées au milieu de nulle part, l’absence d’eau courante, des files d’attente qui n’en finissent plus, des soins offerts en pleine jungle, dans des prisons, dans des églises, dans des orphelinats, à bord d’un ponton, d’un autobus… Les gens qui ont vécu l’expérience d’une mission DSF en ont vu de toutes les couleurs au fil des ans. Mais personne n’a jamais baissé les bras, au contraire. Les efforts déployés par tous et chacun pour trouver du matériel et de l’équipement pour lesmissions, pour équiper de façon permanente certaines cliniques sur le terrain, ou pour établir de nouveaux partenariats, sont plus importants que jamais.

Parce qu’au-delà de l’aventure,DSF relève d’abord « de la volonté de poser un geste désintéressé visant à aider des êtres humains dans le besoin », affirmait le père Jacques Gauthier, prêtre des Missions Étrangères, après avoir accueilli la première mission officielle de DSF au Honduras, en février 2000. Cette première mission curative fut d’ailleurs chargée de toute l’humanité que DSF souhaitait déployer puisque l’équipe procéda à six interventions chirurgicales visant à corriger des becs de lièvre.

Depuis, des milliers et des milliers de dents ont été arrachées, réparées, nettoyées, et un effort particulier est maintenant déployé afin demettre de l’avant la prévention.

« Les partenariats établis au départ avec l’Association des chirurgiens dentistes du Québec (ACDQ) et la Faculté de médecine dentaire de l’Université de Montréal nous ont été très précieux », mentionne Robert Gonneville, directeur général de Terre Sans Frontières. « Il y a un beau mouvement de sympathie et d’appropriation du projet qui s’est développé chez les dentistes », ajoute-t-il, tout en faisant remarquer que DSF a vu se succéder trois personnes à la présidence de l’ACDQ, « un signe que le programme est important pour la profession ». D’ailleurs, en cette année de dixième anniversaire, Dentistes Sans Frontières donne un nouvel élan à son action puisqu’un partenariat avec l’Association des chirurgiens dentistes du Québec permettra de développer au Guatemala un projet communautaire de santé bucco-dentaire.


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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 03:07
 

Des Suisses vont proposer des vols pour l’espace à 30 000 francs

D’ici à six ans si tout va bien, le Swiss Propulsion Laboratory mettra l’espace à la portée de (presque) toutes les bourses. Emergence d’une industrie touristique?

Par Fabrice Delaye - Bilan No.11 - 03.06.2009

Three, two, one, ignition! Le Suisse Hans-Ulrich Ammann, CEO d’Aro Technologies, pourrait voir son rêve se réaliser d’ici à six ans si tout va bien. Son projet «Enterprise», un avion spatial dont il a commencé la conception il y a une dizaine d’années, devrait pouvoir emmener six touristes de l’espace. Le voyage parabole de cinq minutes en apesanteur à 110 kilomètres au-dessus de la Terre décolerait depuis le Centre spatial allemand de Peenemünde. Et s’il parvenait à ses fins, Hans-Ulrich Ammann aurait encore une autre satisfaction: ne plus réserver l’espace aux seuls milliardaires.

Pour autant que le candidat puisse payer les 30 000 francs du ticket.Le tourisme spatial est né le 28 avril 2001 avec le voyage du milliardaire américain Dennis Titovers la station spatiale internationale à bord d’une fusée Soyuz. Depuis, cinq autres passagers se sont, comme lui, acquittés des 25 millions de dollars pour s’envoler vers les étoiles à bord de fusées russes.

En 2004, après le vol à 120 kilomètres au-dessus de la Terre à bord de l’avion-fusée SpaceShipOne, Richard Branson, fondateur de Virgin, s’est mis en tête de démocratiser cette forme extrême de tourisme. Virgin Galactic a déjà vendu plus de 300 billets à 200 000 dollars par personne pour sortir de l’atmosphère à bord d’avions-fusées. Et aujourd’hui, les projets se multiplient (lire encadré).

Des premiers résultats étonnants

A Langenthal, Hans-Ulrich Ammann est entré dans cette course. Derrière le bâtiment d’Aro Technologies, son entreprise de filtres industriels high-tech, cet homme et quelques amis ingénieurs passionnés de spatial ont investi 2 millions de francs depuis 1998 dans le Swiss Propulsion Laboratory (SPL) où sont testés des moteurs de 10 tonnes de poussée.Dans son bureau décoré de photos de fusées, Hans-Ulrich Ammann n’apparaît pas comme un doux rêveur. Avec ses associés, il a essayé divers combustibles pour des clients comme le groupe Bosch.

Ses motivations: «Si je veux participer à la course à l’espace comme entrepreneur, le mieux que je puisse espérer est que l’Agence spatiale européenne me confie une petite valve ou des boulons. Mon vrai objectif consiste aujourd’hui à construire des fusées car les technologies sont disponibles.»«Le SPL est déjà parvenu à des résultats étonnants», confirme Maurice Borgeaud, directeur du Space Center de l’EPFL, qui a d’ailleurs signé des collaborations avec les passionnés de Langenthal. En particulier après des essais avec des poussées allant de 0,1 à 1200 kilos, les ingénieurs suisses sont parvenus à mettre au point un système de refroidissement breveté qui permet d’utiliser un mélange de bioéthanol et d’oxygène liquide sur de petites fusées.

Un premier test en juin 2009

Ce sont cependant les perspectives du tourisme spatial qui ont mis les ingénieurs du SPL sur leur plus gros projet jusqu’à présent. En août 2008, l’institut allemand Talis a créé en Suisse Talis Enterprise en coopération avec le SPL. Le but est de développer avec d’autres partenaires allemands comme XtremAir un avion- fusée, l’Enterprise, capable de transporter cinq passagers et un pilote.Avant cela, le consortium, qui vient de signer un accord avec la société de tourisme spatiale de Malaisie, va essayer, dans les jours à venir, un premier modèle radiocommandé de 3 mètres de long du vaisseau Black Sky. Si l’essai s’avère concluant, le moteur jet de cette maquette sera remplacé l’an prochain par une fusée du SPL.

La voie sera alors ouverte au développement du premier Black Sky, un avion-fusée capable d’emporter un pilote et un passager à 45 kilomètres d’altitude. Plus gros, le vaisseau Enterprise sera ensuite développé sur la base de ces expériences.Contrairement à ses concurrents américains, le projet helvético-allemand n’a pas un milliardaire comme Jeff Bezos,fondateur d’Amazon et promoteur de Blue Origin, comme Richard Branson ou encore comme Ellon Musk, fondateur de Paypal, pour payer des factures.

Les coûts des projets helvético-allemands oscillent entre 8 millions de francs pour le Black Sky et 80 millions pour l’Enterprise. C’est dix fois moins que ceux des concurrents, si bien que le SPL se positionne sur le segment low-cost du spatial. Mais même avec cette approche, l’argent reste toujours le prin- cipal obstacle aux projets de Hans Ulrich Ammann et de ses partenaires.

Leur passion les a cependant amenés à créer la première entreprise privée à développer des moteurs de fusées. Soit un nouvel acteur des technologies aérospatiales. Le savoir-faire qu’ils cherchent à mettre au point fait aussi participer la Suisse à la naissance du tourisme spatial. La question de l’avenir industriel de ce secteur émergent est naturellement ouverte. Mais il ne faut pas oublier que ce sont aussi des passionnés qui ont créé l’aviation.

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19 juillet 2010 1 19 /07 /juillet /2010 00:13

 

Martin Jones a perdu la vue après une explosion de chaudière : il n'aurait jamais cru pouvoir "regarder" sa propre femme, rencontrée il y a quatre ans et pourtant depuis quelques jours, c'est de nouveau possible ! Une équipe de chirurgiens lui a ôté une canine pour lui implanter dans l'oeil. Me demandez pas comment ça marche, j'ai eu beau lire l'explication huit fois, c'est toujours du Chinois. Il y a même un schéma, tenez :

 

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 00:06
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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 00:00

De nombreux projets de voitures volantes ont vu le jour ces dernières années, si certains de ces projets peuvent paraître fantaisistes, d’autres sont à un stade avancé et une commercialisation prochaine semble réaliste. L’une des sociétés engagées dans cette course annonce en effet une commercialisation pour 2011. Petit tour d’horizon.
 

Transition® de Terrafugia : le plus prometteur

La société américaine Terrafugia est bien placée pour commercialiser la première voiture volante de l’histoire. La Transition Roadable Aircraft n’aurait besoin que de 30 secondes pour faire la transition avion/voiture. Le prototype est capable de voler et rouler. Le constructeur attendrait les dernières autorisations et homologations pour passer en production. Elle pourrait être commercialisée en 2011. Son prix de vente serait de 195 000 dollars (environ 150 000 euros)

 

 

 

 

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 02:28

Récupérée du fond de ses tiroirs, Michel Moussier vient de faire parvenir, une copie d'un "Science & Vie" de décembre 1962 qui traite de l'aile conçue par Monsieur Francis Rogallo.
 Merci Michel ! et voici le document .... qui vous demandera un peu de patience à l'affichage mais vous ne le regretterez pas ... 

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